-  21 janvier 2004 Gilbert Laffaille
Gilbert Laffaille chante accompagné au piano par Léo Nissim « Après dix années avec des guitaristes, je redécouvre le piano. Il m'a bien fallu tenir compte de cette grosse bête noire, impressionnante dans l'espace scénique. Tailler, couper, affûter le répertoire, épurer... que les chansons respirent dans leurs nouvelles couleurs et leurs nouveaux arrangements (merci Léo Nissim !).
Un spectacle sur le fil de l'humour et de l'émotion, que j'espère partager bientôt avec vous. » Gilbert Laffaille

-  22 janvier 2004 Didier Sustrac
Didier Sustrac, guitare et chant, Lionel Gaget, claviers, piano, Carlos Werneck, basse
En 1993, le single Tout seul extrait de l'album ZANZIBAR le hisse en haut des charts. En 2003, le plus brésilien des chanteurs français revient avec un quatrième album, MA TIERE PREMIERE, entre jazz et bossa nova, intimiste, brut et personnel. Une simplicité recherchée dans la poésie du quotidien. C'est un véritable retour à la terre pour l'aérien sustrac. « Didier Sustrac se régale de rythmes cool brésiliens et de textes finement ciselés » France Soir

-  23 janvier 2004 Morice Benin
Morice Benin, guitare et chant, Dominique Dumont, guitare et choeurs, Patrick Leroux, violoncelle, percussions
Morice Benin vogue depuis presque trente ans sur une vague puissante, faite d'une culture en mouvement. Plus de trente enregistrements à ce jour, un prix de l'académie Charles Cros en 1985, l'Olympia à deux reprises et un prix de la Sacem en 1990 pour l'ensemble de son reuvre.
Aujourd'hui, Morice Benin l'anti-star, pose le regard du poète sur la vie dans un superbe spectacle, ETRE.

-  24 janvier 2004 Salut Brassens
Joël Favreau, guitare et voix, Jean-Jacques Franchin, accordéon « Peut-on encore surprendre en reprenant du Brassens ? Oui ! prouve Joël Favreau, qui tint douze ans durant la deuxième guitare à l'ombre du manche du maître ? Aiguillonné par Le Forestier, Favreau ose enfin chanter Brassens. Et c'est superbe. La voix est chaude et bien timbrée, la guitare alerte et l'accordéon qui lui répond, celui de Jean-Jacques Franchin rendent ensemble justice à la musicalité que la version d'origine réduisait au minimalisme et c'est enthousiasmant ! » Anne-Marie Paquotte- Télérama

-  26 janvier 2004 Lionel Damei
Lionel Damei en récital avec Claude Gommez au piano « J'écris mes textes, on les dit volontiers poétiques, sensibles, forts, impressionnistes... Ensuite, je les confie à différents compositeurs, ce qui assure au répertoire des styles musicaux variés. On dit que ma présence scénique lie l'ensemble avec bonheur et sans la trace d'un effort apparent. Mais tout cela ne serait rien, sans la complicité et le talent de mon ami pianiste Claude Gomez, qui donne des ailes à son piano, me libère des mots et des peurs et me donne enfin le temps d'un récital, l'impression de voler à ses côtés. » lionel Damei

-  27 janvier 2004 Camille - le sac des filles
Camille est accompagnée d'un trio, guitare, contrebasse et batterie
Avec son premier album, LE SAC DES FILLES, cette jeune auteur-compositeur pose les bases d'un univers drôle et attachant, audacieux, d'une fraîcheur rayonnante- Camille a le don de l'écriture imagée et inventive, un sens lumineux de la mélodie, le goût du spectacle débridé.
Elle aime la soul, le folk et les airs de music-hall des années 20 qui colorent joliment sa musique. Douée d'une rare aisance vocale, elle chante de poétiques incongruités qui prêtent à sourire et laissent sous le charme.

-  28 janvier 2004 Cali - l'amour parfait
et Hugues Baretge guitare, Julien Lebart, claviers, Aude Massai, alto Auteur, compositeur et interprète, il cisèle des chansons tout en nuances : un mélange inédit de tendresse et de vacheries, de désespoir et d'optimisme. Depuis Miossec, on n'avait pas entendu de propos aussi directs, de langue aussi bien pendue, d'ironie aussi sèche. Avec ce timbre si particulier qui respire à la fois le soleil et le bois, Cali panse ses blessures intimes au vitriol. Une fois guéri, il chante l'amour avec ivresse, cet « amour parfait » après lequel il court en faisant semblant d'y croire.

-  29 janvier 2004 Greame Allwright
COMPLET

-  30 janvier 2004 Romain Didier
La cinquantaine bon teint, l'allure réservée, la voix chaude, tendre, complice, le Jtoucher de piano fin et doux, quand Romain Didier paraît sur scène, que débute ses concerts, la magie s'installe au fil de ses chansons charmeuses dont le dénominateur commun est l'humanisme. Véritable ancêtre de Vincent Delerm - formule piano-voix, belle prestance, univers à la fois mélancolique et sarcastique - il va son chemin depuis plus de vingt ans, funambule nonchalant, avec le talent des artistes qui durent, la vibration des grands, le souffle poétique et musical de Brassens, Brel, Ferré.